En paix, en temps de tranquillité, c’était mon désarroi
En aisance et sûreté, c’était ma ruine
Trois saisons et une
Je me lamente sur celle-ci plus que les trois
Ne l’ai-je pas vu ?
Le fardeau était un présent
Dans la fournaise, j’étais béni
L’adversité m’a mis sur les eaux
Où est-ce que la main de l’Éternel ?
Celle a été tendu pour me délivre
Où est-ce que son voix ?
Réconfortant, il soumet ma peur
Le vent chahuteur, les eaux écrasantes
L’été est fini
Au secours, Seigneur !
qu’il y’ a quelque tristesse exprimé dans ton poésie…!
mais la douleur que je sens ici résonne avec ma propre experience cette été
c’est ta propre composition?